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Efficacité et sécurité de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée
1 - Indications
La posologie de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée est déterminée par le médecin en fonction de l’indication. Les données disponibles concernant l’efficacité de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée dans le traitement de la ménopause sont limitées et leur nombre n’est pas suffisant pour conclure à son efficacité dans la réduction des symptômes de la ménopause.
Il n’existe pas de données cliniques ou précliniques concernant le profil de sécurité d’emploi de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée. En cas de survenue d’un effet indésirable, le médecin devra en identifier les causes et mettre en place un traitement adapté si nécessaire. Les données de sécurité d’emploi de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée sont limitées et leur nombre n’est pas suffisant pour conclure à son efficacité dans la réduction des symptômes de la ménopause.
2 - Posologie
La posologie de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée est déterminée par le médecin en fonction du type de ménopause. La posologie usuelle est de 150 à 200 UI/kg de poids corporel toutes les 3 à 4 semaines au maximum. La posologie maximale est de 200 UI/kg de poids corporel en 2 prises par semaine.
L’utilisation de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée chez l’enfant de moins de 12 ans ne peut être envisagée que si la posologie usuelle de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée chez l’adulte ne suffit pas pour corriger le déséquilibre hormonal mis en évidence.
Si la ménopause survient chez une jeune femme, la posologie initiale est de 150 UI/kg/semaine puis diminue progressivement jusqu’à la posologie usuelle en fonction de la réponse du patient à SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée. En l’absence de réponse après 14 jours de traitement et après au moins 4 consultations chez le médecin ou l’urologue, il est recommandé de renouveler le traitement.
Les symptômes disparaissent habituellement après 2 mois de traitement.
En cas d’effets indésirables, le médecin doit en identifier la cause et mettre en place un traitement adapté si nécessaire.
3 - Durée du traitement
La durée du traitement par SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée est de 3 à 6 mois après la dernière consultation.
Il est conseillé de continuer la prise de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée au-delà de la ménopause.
Chez les patientes ayant une prédisposition génétique au cancer du sein et recevant des doses élevées d’œstrogènes pour prévenir la ménopause, la prise de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée doit être envisagée avec précaution.
4 - Surveillance de l’efficacité du traitement
La surveillance de l’efficacité du traitement est indispensable afin de prévenir les effets indésirables. Les mesures suivantes doivent être effectuées chaque jour :
- prise de la température corporelle tous les matins au réveil puis à la fin de la première heure de traitement ;
- tous les jours pendant le traitement une mesure du taux d’estradiol doit être effectuée. Le taux est évalué sur la base d’une prise de sang à jeun ;
- durant le traitement, la température corporelle doit être prise avant le début du traitement puis à la fin de chaque dose et avant le début de la période de traitement suivante ;
- tous les matins avant le début de la période de traitement suivante un prélèvement doit être effectué pour évaluer le taux de progestérone.
Tous les matins avant le début du traitement, une mesure de la température corporelle doit être effectuée sur la base d’une prise de sang à jeun. L’évaluation du taux d’estradiol est effectuée sur la base d’une prise de sang à jeun. La progestérone est évaluée à l’aide d’une prise de sang avant la fin de la période de traitement suivante, sur la base d’un prélèvement de sang veineux au laboratoire.
Chez les femmes ayant subi une ablation des ovaires, la mesure de l’estradiol doit être effectuée tous les jours au début du traitement puis à la fin de la période de traitement suivante. Cette mesure de l’estradiol doit être effectuée sur la base d’une prise de sang à jeun.
La surveillance des taux d’estradiol et de progestérone doit être poursuivie jusqu’à ce que la ménopause ait été confirmée. Le traitement peut être poursuivi jusqu’à ce que les taux d’estradiol et de progestérone aient atteint 0,35 ng/ml et 4 ng/ml respectivement. Si ces valeurs ne sont pas atteintes, un nouveau traitement est recommandé après 2 ou 3 mois. Les taux d’estradiol et de progestérone doivent être contrôlés régulièrement pendant le traitement par SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée afin de prévenir les effets secondaires.
5 - Effets indésirables
Les effets indésirables les plus fréquemment observés sont :
- des bouffées de chaleur,
- des troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements, diarrhée et douleurs abdominales.
Des cas isolés de vertiges ont été rapportés.
L’œdème de Quincke est une réaction allergique grave. L’incidence est d’environ 1 cas sur 10 000. Il peut provoquer un gonflement du visage, des lèvres, de la langue, du cou ou de la gorge.
Des cas isolés de réactions cutanées graves telles que nécrose papillaire, syndrome de Stevens-Johnson et érythème polymorphe ont été rapportés.
Les réactions cutanées graves peuvent être associées à une infection secondaire par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).
Les autres effets indésirables observés sont listés dans le tableau ci-dessous par système organique et par fréquence en cas de fréquence indéterminée (inconnue).
Les effets indésirables suivants ont été rapportés lors de l’utilisation de SANDOZ 10 mg/2 ml, suspension injectable à libération prolongée :
Effet indésirable | Fréquence | Désignation |
Très fréquent | 5 à 10% | Après une semaine de traitement |
Fréquent | 10 à 20% | Après 1 semaine de traitement |
Peu fréquent | 20 à 40% | Après 2 semaines de traitement |
Rare | 50 à 100% | Après 3 semaines de traitement |
Très rare | 1 personne sur10 000 | Après 3 mois de traitement |
Investigations | 4 personnes sur | Après 1 mois de traitement |
6 - Surveillance de la fonction hépatique
La fonction hépatique doit être vérifiée à la fin du traitement et après 3 mois de traitement.
Les femmes ayant une prédisposition génétique au cancer du sein et recevant des doses élevées d’œstrogènes pour prévenir la ménopause doivent faire contrôler leur fonction hépatique par leur médecin et prendre les précautions nécessaires avant de débuter le traitement et à intervalles réguliers pendant toute la durée du traitement. La fonction hépatique doit être vérifiée à la fin de chaque dose et après 3 mois de traitement.
Le patient doit être invité à signer et à retourner son ordonnance dans un délai de 48 heures au plus tard après sa réception. La majorité des patients souffrant de dysfonctionnement érectile et de la maladie cardiaque ont déclaré que leur trouble est principalement causé par une diminution de la quantité de testostérone qu'ils produisent eux-mêmes en réponse à des facteurs environnementaux. Cela inclut le besoin de médicaments pour la dysfonction érectile et pour d'autres affections.
Le patient peut recevoir un seul médicament pour traiter ses symptômes de dysfonctionnement érectile. Les patients peuvent également bénéficier de médicaments en vente libre et de médicaments délivrés sur ordonnance. Les médecins de la Clinique Mayo peuvent prescrire des médicaments pour traiter la dysfonction érectile en utilisant le médicament Viagra, le médicament Cialis et les médicaments pour les maladies cardiaques.
Le médecin peut prescrire d'autres médicaments pour traiter les maladies cardiaques, les problèmes de pression artérielle, l'arthrite, les nausées, les maux de dos et les migraines.
Le médecin peut également prescrire d'autres médicaments pour traiter les problèmes d'estomac, la douleur thoracique, la fatigue et la dépression. Une fois la prescription émise, le médicament est envoyé directement au patient à partir de la pharmacie centrale de la ville de Grenoble. Le patient peut ensuite retourner son médicament une fois qu'il est terminé.
Certains médicaments délivrés sur ordonnance peuvent être disponibles sans ordonnance dans certaines pharmacies de la ville. Il s'agit notamment des médicaments pour le traitement de la dépression, des troubles cardiaques et de la pression artérielle, des problèmes rénaux, des maladies du foie, de l'asthme et de la migraine.
Vous pouvez demander des renseignements à la pharmacie centrale de la ville de Grenoble. Ils vous aideront à déterminer si un médicament est disponible ou non sans ordonnance. Les patients peuvent également demander une liste des médicaments sur ordonnance disponibles sans ordonnance.
C’est une pratique bien courante à laquelle les hôpitaux et les centres de santé se livrent sans grand scrupule. Les médecins qui exercent en secteur libéral sont des professionnels de santé, donc en droit de prescrire. Il ne peut pas y avoir de conflit d’intérêt, les médecins étant indépendants.
Encore faut-il que les praticiens concernés respectent bien le code de déontologie de la profession, mais c’est malheureusement loin d’être toujours le cas. Ce qui est très choquant, c’est quand un médecin se livre à une telle pratique, de manière délibérée, pour favoriser sa propre activité. Une de ses patientes, âgée de 80 ans, qui était en soins palliatifs, a ainsi pu bénéficier d’une chambre particulière pour ses soins, car il n’y avait plus de place dans les chambres. Cette pratique, qui ne relève pas du code de déontologie, est une atteinte à son droit à un suivi médical adapté.
Dans une telle situation, les médecins doivent veiller à faire une déclaration à l’Ordre des médecins.
La Fédération nationale des centres de santé rappelle que les médecins qui exercent en libéral doivent respecter la législation en vigueur et notamment le code de déontologie.