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Il y a un an, la France a fait face à une épidémie inédite de la COVID-19. Si les mesures de santé publique étaient déjà en place avant le premier cas confirmé en France, le système sanitaire a été grandement affecté. Il en est de même en Espagne, qui a vu sa population de près de 45 millions d’habitants être touchée par une pandémie, avec un nombre d’hospitalisations et de décès qui a dépassé les 100.000. L’Espagne a connu une pandémie très similaire à celle que nous avons subie en France. La première étape a été le confinement, qui a été mis en place le 24 mars 2020 et a été levé le 24 mai 2020. En outre, le confinement a été prolongé à deux reprises du 24 mars au 30 avril 2021 et du 19 octobre 2021 au 31 janvier 2023, le plus long confinement en Europe (28 mois). Cette situation a eu des répercussions majeures sur la santé mentale et physique des Espagnols, ainsi que sur le bien-être des travailleurs de la santé qui ont été mis sur la touche pendant des années. Depuis le premier cas de la COVID-19 en Espagne, nous assistons à une hausse de la pression publique pour que le pays sorte de cette crise avec un système de santé plus performant et plus sain, avec le soutien d’une population qui a perdu confiance en les institutions et la société. Nous savons tous que les résultats de cette année 2023 seront encore pires que les résultats de l’année dernière. Les mesures prises par le gouvernement de l’État en 2022-2023 et qui ont duré jusqu’en mars 2023 ont été bien accueillies par la société civile. Cependant, les gens ne comprennent pas la nécessité de respecter les protocoles sanitaires établis et de se conformer aux mesures de sécurité. Les citoyens qui les ont appliqués ont fait preuve de courage, de solidarité et d’engagement et ont montré que la pandémie n’était pas une fatalité. Les données disponibles montrent que le nombre de cas positifs, de décès et d’hospitalisations est inférieur à la moyenne mondiale et à la moyenne espagnole et que la courbe de propagation de la pandémie a diminué au cours des derniers mois. Les résultats de la politique sanitaire ont été remarquables. De plus, les données recueillies à ce jour ont été utilisées pour élaborer une stratégie de contrôle du virus, mais aussi pour évaluer l’impact sur le bien-être des Espagnols.

Le contexte de la pandémie

La première phase de la pandémie en Espagne, qui a débuté le 24 mars 2020, s’est déroulée avec un taux de contamination relativement faible, malgré le nombre important de personnes touchées par la maladie. Cela a été possible en raison des mesures de santé publique mises en place par le gouvernement et de l’attitude positive des citoyens, ce qui a conduit le virus à se propager dans toute l’Espagne. Le système de santé a été saturé et a été surchargé de patients présentant des symptômes plus légers que la normale, et il a donc été nécessaire de mettre en place des mesures de santé publique pour réduire les infections et éviter l’épidémie. Ainsi, le premier confinement s’est mis en place à partir du 24 mars et a duré jusqu’au 24 mai. Il a été décrété par le gouvernement espagnol et a été très efficace : le taux d’infection a chuté en dessous de la normale et il a été possible de réduire les hospitalisations et les décès grâce à la stratégie de santé publique. À ce jour, les données disponibles montrent que les résultats de la politique sanitaire ont été remarquables.

Les principales leçons apprises

Les principaux enseignements que l’on peut tirer des données disponibles sont les suivants :

Les mesures de santé publique en place ont été efficaces

Les mesures de santé publique qui ont été appliquées par le gouvernement ont été efficaces : les tests ont été rapides, le nombre d’infections a diminué au cours des derniers mois et la courbe de propagation de la maladie a diminué au cours des derniers mois. En outre, le confinement a été prolongé jusqu’au 30 avril 2023 et sera prolongé au moins jusqu’au 30 avril 2023. Le confinement et la quarantaine ont été un succès car ils ont contribué à réduire la contagion et à éviter les hospitalisations. Cela a été possible grâce à la stratégie de santé publique mise en place, qui comprenait une surveillance continue et un isolement efficace des personnes infectées par la maladie. Cependant, ils ont été moins efficaces en termes de protection de la santé, car ils ont entraîné une augmentation de la charge de travail du personnel de santé, qui est passée de 35 % en 2020 à 50 % en 2021. À cet égard, il faut également souligner que les mesures de santé publique ont été mises en œuvre de manière progressive, en limitant le nombre de cas, de décès et d’hospitalisations. Cela a permis au système de santé de se restructurer pour pouvoir faire face aux conséquences du COVID-19.

Les conséquences économiques et sociales de la pandémie ont été plus importantes que prévu.

Le gouvernement espagnol a été confronté à des coûts élevés en raison du confinement et des mesures de santé publique. En outre, l’impact de la pandémie sur l’économie espagnole a été plus important que prévu. Le taux d’infection au cours des derniers mois a dépassé les attentes du gouvernement, qui était de 40 000 infections pour 100 000 habitants, et a atteint un pic en mars 2023, dépassant les 100 000 cas par jour, le taux le plus élevé depuis la première phase de la pandémie. En outre, la hausse des coûts des soins de santé et des services publics a été supérieure aux estimations du gouvernement. Par conséquent, les personnes qui ont vécu avec le virus pendant des années ont dû faire face à une perte de revenus importantes.

La crise du logement a été une tragédie pour les Espagnols

Les données disponibles montrent que les résultats de la politique sanitaire ont été remarquables. Toutefois, les gens ont été touchés par la pauvreté pendant la pandémie et ont dû faire face à une situation économique difficile, comme la perte de revenus, la réduction des salaires et la réduction de la consommation de services. La pauvreté a été causée par les mesures de santé publique mises en place par le gouvernement, qui ont entraîné une augmentation des dépenses de santé et de services publics, ce qui a affecté les ménages espagnols. La réponse au COVID-19 a été insuffisante et a eu des conséquences négatives sur la santé des personnes. Cela a conduit à un nombre croissant de personnes vivant dans des logements insalubres, sans accès à des équipements sanitaires adéquats.

De plus, le secteur du logement a été confronté à une crise en raison de la pénurie de logements et de l’inaccessibilité du marché immobilier. Ainsi, le gouvernement a dû mettre en place des mesures de soutien aux ménages et aux entreprises en difficulté, afin de remédier à cette situation. La réduction de la pauvreté a été plus importante que prévue et a été une source de préoccupation pour la société. La situation a été particulièrement difficile pour les familles les plus pauvres de la population espagnole. Le nombre de personnes touchées par la pauvreté a augmenté en raison de la baisse des revenus et de l’augmentation du coût de la vie dans le pays.

Enfin, le gouvernement a dû faire face à des dépenses importantes en raison des mesures de santé publique, notamment dans le secteur de la santé publique. Les mesures de santé publique ont été un succès en termes de santé publique, mais ont entraîné des coûts élevés pour les personnes touchées par la maladie. Cela a entraîné une augmentation des prix de la nourriture, des soins de santé et des services publics pour tous les Espagnols. Cela a entraîné une baisse de la consommation de ces biens et services. De plus, il a été difficile pour le gouvernement de maintenir l’inflation à un niveau bas, ce qui a entraîné une augmentation des prix de la consommation et des biens et services de base. Par conséquent, les conséquences économiques de la pandémie ont été plus importantes que prévu et ont eu un impact important sur la vie des Espagnols.

En conclusion, les leçons apprises de la pandémie en Espagne sont les suivantes :

Les mesures de santé publique qui ont été appliquées par le gouvernement ont été efficaces : le nombre d’infections a diminué en dessous de la normale et il a été possible de réduire les hospitalisations et les décès grâce à la stratégie de santé publique. En outre, les données recueillies à ce jour ont été utilisées pour élaborer une stratégie de contrôle du virus, mais aussi pour évaluer l’impact sur le bien-être des Espagnols.

Le gouvernement a dû faire face à des coûts élevés en raison des mesures de santé publique mises en place par le gouvernement.

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